Luciole en avait marre de trier ses messages, il sortit donc de sa tour sur le chemin il rencontra un des quatre sages, après un bref dialogue il retourna dans son bureau, il vit un nouveau papier, il ne pouvait pas le raté car il était rose. Il lu lut, il indiqué quand homme avait délibérément brûler et saccager la maison de ses parents heureusement ils était encore en vie. Luciole leur envoya une lettre pour leur dire de se réfugier dans sa tour.
« Je vais rendre une petite visite à se samurai du dimanche »
Luciole marcha pendant des heures. Puis il arriva devant la maison de ses parents, puis il vu les dégâts. Il n’y avait plus rien
* Mince, je c’est pas si c’est vraiment un samurai du dimanche ?*
Lucile chercha des indice, puis il vu un emblème, un Z barré entouré par un cercle.
Luciole connaissait bien cette emblème il s agisse de celui de son pire ennemis Marohi.
Il lui rendit visite, pour cela il traversa un fleuve et plusieurs campagnes.
Il arriva enfin devant la maison.
Soudain il reçu un coup de sabre, Luciole le vit un peu plus tôt ce qui lui permit de s’échapper seul sa tunique avait payer. Elle était en lambeau.
« Tu vas payer elle ma coûté cher cette tunique »
Luciole se mit en garde.
Son adversaire l’attaqua par un coup circulaire Luciole le para puis il contre-attaqua.
Après un échange de coup de sabre Luciole fut blessé à l’épaule la coupure était pas très profonde.
« Ah tu ne peut me battre Keikoku »
Luciole le regarda puis ces yeux changèrent de couleur, en rouge.
Luciole souriait je n ai pas autant aimé un combat depuis longtemps je vais te faire souffrir avant de te tué.
Luciole fonça vers Marohi, sa vitesse avait doublé son adversaire n’avait rien comprit, il perdit son bras gauche.
« Je te l’avait dit »
Luciole lécha le sang qui était sur sa lame.
« Moi aussi je vais alors augmenter mon niveau. »
Les deux homme s’échangèrent encore des coup de sabre puis Luciole réussit à faire tombé Mahiro.
« Désolé mais c’est la fin pour toi, Maôen, flammes du roi des ténèbres »
Mahiro fut brûler à dernier degrés, il ne resté que sa carcasse. Mais la bourse qu’il tenait à sa ceinture fut épargnée par un miracle. Luciole prit la bourse et rentra dans sa tour sur la route il alla rendre une visite à un de ces amis puis il rentra en courant car la nuit tombé.